Fleur de l'Aube - Guerrière - Libre

Votre Présentation :
Nom : Fleur de l'Aube.
Surnom : Flowy.
Famille : Décédée.
Origine : Sauvage ( Chat errant dans la montagne ).
Âge en lunes (une lune=un mois) : 7 lunes.
Sexe : Femelle.
Rang : Viens d'être guerrière.

Descriptions & Rêves :

Descriptions Physique :
Fleur de l'Aube est plutôt courte sur patte, elle a toujours un poil soyeux bien lissé, brillant. La femelle a de beaux yeux bleus aussi profond qu'un océan. Son pelage est roux clair rayé de beige. Sous son museau jusqu'à sa queue, son poil est d'un blanc semblable à une perle de nacre.

Rêves : Fleur de l'Aube rêve d'un jour où elle pourra revoir sa famille car elle ne sait pas si elle habite au Clan des Étoiles ou ailleurs.

Cauchemars : Elle frissonne rien qu'à l'idée de tomber dans un trou à l'infini.

Caractère ( un rapide résumé en quelques mots ) : Audacieuse et têtue. Solitaire et parfois froide elle sait le reconnaître.

Description Psychologique :
Fleur de l'Aube est audacieuse et têtue, elle ne change pas facilement d'avis une fois qu'elle s'est décidée ! Elle n'aime pas beaucoup la vie en groupe, elle préfère largement vivre tranquillement de son côté, comme une solitaire. Elle est parfois froide envers les gens à qui elle parle, et n'est pas très sociable à ce niveau-là.

Qualité & Défaut :
- Têtue ;
- Solitaire ;
- Froide ;
- Optimiste.

Histoire :
Petite, elle s'appelait Sally. Elle était la petite dernière d'une portée de 3 chatons. Sa mère eut très peur qu'elle ne survive pas car l'hiver venait et elle avait encore la fragilité d'un nouveau-né contrairement à ses sœurs qui étaient robustes. Les parents de Sally étaient nomade et n'appartenaient à aucuns Clans. D'ailleurs, ils ne savaient même pas que ça existait. Pour la naissance des trois chatons, ils s'étaient établit dans un ancien terrier de renard. Le mâle partait chasser tandis que la femelle restait avec ses petits rejetons comme le font tous les chats sauvages. Un jour la première femelle à être née, aussi dit l'ainée, partit avec son père pour une leçon de chasse matinale. Seulement à la tombée de la nuit ils ne revinrent malheureusement pas. " C'était le début des ennuis."

Ma mère s'apprêtait à s'aventurer seule dans la nuit lorsque une silhouette couverte de blessure arriva ayant dans la gueule une créature pendante. Lorsque le chat déposa à nos pieds sont fardeau dans une marre de sang, on comprit que c'était personne d'autre que notre sœur. Le miaulement de détresse de notre mère résonna dans la caverne. Alors mon père expliqua l'évènement d'un miaulement sinistre :

- Elle s'apprêtait à mettre à mort un campagnol quand un chien est arrivé. Il... Il l'a prit à la nuque et la secouée de toute ses forces ! J'ai essayé de l'attaquer mais il était si concentré sur la proie que lorsque j'eus réussi à attirer son attention il avait lâcher son corps encore chaud sur le sol... Je n'ai rien pus faire... Rien. Il faut partir car ils ont flairé notre piste et ils vont revenir.

À ce moment là, le miaulement aigu de ma mère retentit :

- Est-ce bien raisonnable ? Les petits sont à peine sevrés, ils devaient manger leurs première proie ce soir !

Mais nous sommes quand même partit, à tort. La nuit nous enveloppa de sa froideur d'antan. Nous marchâmes longtemps, jusqu'à atteindre l'orée d'une forêt où nous avons décidés de passer la nuit. Nous trouvâmes un terrier de lapins inhabité. Soudain une forte odeur nous titilla les narines. Moi et ma sœur ne connaissaient pas cette odeur mais mes parents s'agitèrent soudain. Nous ne pouvions plus fuir. Deux bêtes au poil orangé grattèrent le sol ayant pour but de nous dénicher. Soudain, avec leurs gueules aux crocs pointus, elles attrapèrent mon père et ma mère n'ayant pas de mal à les mettre à mort. Puis vint ma sœur qu'ils tuèrent sans le moindre regret. Moi je réussis à m'échapper par un trou qui devait sûrement être une ancienne "issue de secours". Je couru loin très loin d'ici je couru tant que lorsque je m'arrêta mes coussinets étaient couverts de sang et de boue. Pendant trois mois je continuait toujours tout droit mon chemin. Seule, me nourrissant de quelques insectes que je trouvait par hasard en grattant le sol. Enfin, un matin j'aperçus les quatre Clans de la forêt. En m'y installant je crus qu'ils me repousseraient. Au contraire, ils m'acceptèrent avec bienveillance. C'est ainsi que je fus dans un des Clans et j'y suis heureuse à présent.

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